Les bavardages de Marie-Lise

Hello hello  What's new? Moi ça va, enfin, on fait aller.. Des grands moments d e désappointement, d e grandes envolées lyriques, d es nuits blanches e t une FURIEUSE envie d’écrire... Alors je relis mes vieux textes et j'essaie de les améliorer. Je corrige, bref je joue encore à la maîtresse d'école. Maîtresse un jour, maîtresse toujours! HIVER 2018  VOICI MON PRÉFÉRÉ... Christelle des Vieux Tonneaux m'a  photographiée. Je voulais  montrer  ma tête à mes marseillais chéris, je leur manque... ♡♥︎♡ 🍬🍰🧁🍬🍰🧁🍬🍰🧁 PIERRE HERMÉ ME KIFFE Ce matin, 7h30, je monte la rue pour aller à la boulangerie.  Il fait encore un peu nuit, c'est l'hiver. J e fais le tour du foyer, une visite aux canards, je prends quelques photos...  Ma routine quotidienne. Je passe au "Bazar du Bled" pour lire le journal et boire un petit thé.  Chez Marie le thé est vraiment bon. E n plus elle le sert dans de la vaisselle vintage  ce qui ajoute une petite touche de plaisir. Ba zar

Texte remanié en octobre 2021 📕 Hello mes chers amis  En réponse à l’AGRESSION des CITROUILLES et à cette fête d’Halloween qui n’est pas dans nos traditions MÉDITERRANÉENNES un petit texte déjà ancien qui parle de "LA NOËL à Marseille" quand j'étais enfant. Je dirais dans les années 1970! ☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆ Des vacances de Noël quand j'étais petite, je me souviens très bien.  Beaucoup de joies et beaucoup d'embrouilles. Deux familles, celle  de ton père maltaise et fière de l'être. On y vénère les hommes, le travail, la bouffe et les traditions. Et celle de ta mère, d'origine sicilienne dont la devise est Family First et "Va fan culo"! Côté paternel tu les aimes tous.  Tes cousins, ton parrain, tes oncles, tes tantes, ton grand-père Vincent et ta grand-mère Philippina.  Tu es la seule fille alors tu fais la loi avec les garçons!  Malgré ça, il y a peu d'envolées lyriques... B ref ça manque juste un peu de "fun".  Ils ont une passion

J’aime Coluche depuis toujours.Je ne suis pas encore remise de son départ,  tellement triste et injuste.  J’aime Jean-Jacques depuis ses débuts.  J’éprouve un profond respect pour son incroyable humanité.  Sans parler de sa créativité incommensurable.  Des textes forts, d es mélodies parfaites U n génie quoi! J’ai invité mes élèves de Cm2 à comprendre la déportation  des juifs avec sa chanson "Comme toi".  Ils ont trouvé que c’était mieux qu’un cours d’histoire.  J’ai fait danser mes CM1 à Jeanne d’Arc Franconville s ur la chanson de Yannick " Aux Arbres Citoyens".  Un grand moment pour mes élèves. Pour moi un peu moins...  En effet, le costume Arbre  é tait difficile à porter. Et depuis le virus Covid  je chante tous les jours RESPIRE, c omme l'hymne de l'antimorosité.           J’ai d'abord aimé Yannick à Roland Garros.  Le jour de la finale, il est devenu, avant, pendant et après la balle de match " Mon HÉROS"  J’étais enceinte de mon fils M

Aujourd'hui  je vais te parler de mon père Il a débarqué de sa Tunisie natale à 26 ans, le 7 décembre 1959. Vous savez tous pourquoi et comment, je vous l’ai déjà raconté dans le texte déjà ancien "Être né quelque part ". Avant de prendre le bateau, mon père Félix et mon grand-père Vincent avaient déjà fait la traversée une fois. Leur objectif : acheter un espace pour exercer leur activité professionnelle. Repérer un local, choisir un bon emplacement.  Ce sera au Vieux Port, à deux pas du Ferry-boat, rue Fort-Notre-Dame. Puis rassembler le matériel de base pour tout mécanicien. Enfin, réceptionner les machines expédiées depuis la Goulette par bateau. Ils ont acheté les murs, y ont laissé toutes leurs économies et contracté un emprunt. Une organisation impeccable malgré le contexte politique incertain. Et hop, on attaque, on bosse il faut remplir le porte-monnaie.  Pas de temps pour les états d'âme. Mais j’imagine aisément le nombre de nuits à "gamberger" e

Ma Nine ♡ Ma Nine ☆ Le 3 septembre 2020  Elle s'appelle Sylviane Laporte  Des liens forts nous unissent bien que nous ne nous soyons jamais rencontrées. On aime bien Dieu, c’est un peu pareil! Le réseau social INSTAGRAM l’a mise sur mon chemin  Je l’en remercie 🙏💙 Quand elle était enfant elle habitait à Marseille Comme moi Elle allait au lycée Montgrand Moi au lycée Michelet Dans son bahut les profs étaient très sévères Ça lui était égal Elle s'y plaisait beaucoup Les hasard de la vie l’ont contrainte  A quitter Marseille  Pour Berlin Un déchirement pour la petite Sylviane Elle ne s’en remettra jamais Vous savez Marseille, pour elle, c'est  Comme le Fruit Défendu  Un enfant est irrésistiblement attiré  Par ce que ses parents lui ont interdit C’est pareil pour Sylviane 💙 Le système scolaire allemand est très différent Là-bas  Elle ne porte plus la blouse Il n’y a plus de pionnes A Marseille, au lycée Michelet, le tablier est  beige  Ton nom et ta classe son

Je vous ai déjà parlé de mes parents.  Je ne vous ai pas encore tout dit d'eux... Il y a tant à dire... Quand on est jeune, surtout à l'adolescence, on bataille pour se forger une personnalité.  On veut être soi, se démarquer,  ne ressembler à personne. On tâtonne, on cherche, on SE cherche. Les rencontres et les amitiés laissent quelques traces, des bonnes et des mauvaises. A 13 ans j'ai fini de grandir.  J'avais l'allure d'une adulte et je croyais que c'était fait! Je me souviens très bien des sentiments que j'éprouvais; à moi l'indépendance et la liberté. Je parlais avec mes parents d'égal à égal, et ils me permettaient de le faire. Je les aimais mais je ne voulais surtout pas leur ressembler. C'est bête je sais. Maintenant, je comprends le sens de l'expression "mon fils c'est mon sang" ou ma fille "je l'ai dans la peau" Dans nos veines coule le même sang Nous avons en commun t ant de petites cho