My irish trip đź’š


Merci Ryanair, grâce à toi en deux heures, je suis chez ma fille.

Un voyage qui m'a semblĂ© très court grâce Ă  ma voisine, une certaine Sarah de 

Montpellier, photographe de son Ă©tat, fort sympathique et aussi bavarde que moi!


D'ailleurs cette photo c'est elle qui l'a prise; elle avait la bonne place, le hublot.

Merci Sarah pour ta douce compagnie, j'ai tellement parlé que... Même pas peur!




A Dublin, un jeudi, tout le monde travaille bien sĂ»r. 

J'ai donc pris le bus pour rejoindre le centre ville et retrouver mon hĂ´te pour ces 

quelques jours Damien, "the best irish guy ever".





A Dublin, le dĂ©paysement est total pour une fille du Sud. 

Mais aucun sentiment d'isolement, l'impression d'être chez soi malgré tout.


Tu te perds, tu baragouines quelques phrases dans un anglais sommaire, personne ne 

sourit, personne ne se moque. 

On prend le temps de t'expliquer on te guide avec une bienveillance qui n'existe plus 

ailleurs.



Je me souviens qu'Ă  Venise en FĂ©vrier ce n'Ă©tait pas la mĂŞme chose. 

J'ai eu l'impression qu'on me donnait de mauvaises informations juste pour "faire une 

blague" aux français envahissants en période de Carnaval.








Donc je me suis baladée dans le centre ville.

J'ai dégusté un petit club-sandwich au Spar du coin et c'est reparti pour une promenade
dans les rues les plus commerçantes.

Et lĂ  c'est le bonheur pour tes petites oreilles. 

Partout des musiciens, des chanteurs, saltimbanques... 

Attention, ils savent vraiment chanter! 

Tous les styles Ă  quelques mètres les uns des autres. 

J'ai adorĂ© ça. 

Et, cerise sur le cake, il faisait soleil, enfin presque!







Je me suis retrouvĂ©e devant Molly Mallone,  la cĂ©lèbre vendeuse de poissons.

La pauvre, on lui a fait un "grabouillage" sur les seins!







Les façades en briques rouges sont parfois abondamment fleuries. 

C'est vraiment joli.


A Dublin tu vois beaucoup de gens à vélo.

Il y a des bus jaunes et bleus partout et une armĂ©e de taxis incroyable. 

D'ailleurs les courses en taxi sont bien plus abordables que chez nous.



Ça grouille, c'est vivant et très sûr.

DĂ©solĂ©e pour mes amis marseillais mais ici on ne planque pas son sac Ă  main sous son 

manteau. On se sent en sécurité bref on n'a pas peur.








Mais bien sĂ»r cette ville j'apprends Ă  l'aimer parce que ma fille y habite. 

Pour moi c'est gĂ©nial de m'imprĂ©gner de l'ambiance dans laquelle elle Ă©volue tous les 

jours. 

Rentrer dans ses boutiques, marcher sur les mêmes trottoirs qu'elle ça me plaît.




Quand je serai de retour dans ma garrigue je garderai ces images en tĂŞte et je n’aurais aucun mal Ă  l’imaginer.

Car, voyez-vous, mes chers lecteurs, elle me manque 330 jours par an 🤫

C’est la vie, Lili! 


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