Confidences sur l’oreiller
Bonjour mes amis lecteurs
2019, une année qui va compter pour notre famille...
Que d'anniversaires!_
Et des "bulles" comme on dit ici!
Les femmes de ma famille, toutes, je vous adore. Par un curieux hasard nous sommes nées une année en 9! 1919, 1939, 1949, 1959 et 1969. C'est marrant! Maman 80 ans, Eliane 70, moi 60 et Babette 50! Il y a de fortes personnalités, des tempéraments, des femmes qui ont du relief. On trouve la farceuse, l'énergique, la dévouée, la fofolle, la généreuse ou la boudeuse... J’aime tout chez vous. Vos défauts et vos qualités.
Hier c'était le 31. Tellement chouette d'être à Marseille.
J'ai arpenté les rives du Vieux Port de l'Ombrière jusqu'au Mucem. Il faisait un temps magnifique. Puis un petit tour à la maison Empereur, la plus ancienne
quincaillerie de Marseille. J'avais besoin d'un couteau à huîtres. Enfin un arrêt chez Toinou pour acheter des coquillages. Il y avait une queue! J'ai osé les huîtres de la marque Gillardeau et j'ai bien fait. J'en avais déjà goûté chez ma collègue Sandrine, celle qui nous recevait systématiquement avec des plateaux de fruits de mer à faire pâlir les amateurs que nous sommes. Comme elle et la cuisine ça faisait deux, elle se débrouillait de faire bon... sans rien faire. Quels bons souvenirs ces dîners à huit! Quatre couples dont les femmes sont toutes professeurs des écoles à Jeanne d’Arc incapables de ne pas parler boulot. Les quatre maris échangeaint timidement sur le foot, leurs femmes et les vins. Et huit morveux , d'âges si différents... Ça se terminait souvent en pugilat. Immanquablement! Bref, je m'égare.
Revenons à nos moutons, non, pardon, à nos huîtres! J'ignorais avant de les déguster qu'elles ont toutes un G gravé sur la coquille. Pour éviter les malfaçons.
C'est un délice! Si vous aimez les huîtres un peu charnues et goûteuses je vous les conseille!
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| Preuves à l'appui |
Pour le réveillon du 31 décembre, nous avons fait un très bon dîner à quatre. C'était tranquille et délicieux. Maintenant j'apprécie et je déguste le temps passé avec mes parents. Les années qui défilent font grandir en moi la peur de les perdre. Je suis triste de les quitter. Chaque départ est douloureux. Mais l'émotion des embrassades passée la vie reprend son cours et ça repart.
C'était bien ces petites vacances, calme et chaleureux, comme j'aime. Demain cap sur Peyriac, on the road again, again...






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